Une partie de carte entre 3 des quatres rois

Antonio possédait les cinq derniers étages d'un building luxueux. Du moins, c'est ce que laissaient voir les apparences. L'immeuble de trente étages laissaient voir de l'extérieur des vitres tintée, un mur blanc et un portier à l'entrée surveillant qui entrait et sortait. On ne pouvait deviner de l'extérieur que le premier étage n'était qu'une grande salle de conférence vêtus dans la-quel Antonio s'adressait à certains fanatique de sa secte. On pouvait encore moins voir qu'hormis les cinq derniers étages les appartements ne dépassaient jamais les 70 cm carrés. Les locataires vivaient à deux par appartement. A chaque étage une salle servait de salle de bain et de toilette. Seul vivaient dans ses appartements les fanatiques représentant des arcanes. Et dans cet immeuble étaient regroupés les plus fanatiques de tous. Des hommes et des femmes sans âmes qui obéissaient au doit et à l'oeil. Pour le prix du loyer, il fallait donner ses fiches de payes et autres informations de revenu à Antonio (et quelques-uns de ses associer gourous) qui déterminait combien payais chaque locataire et où ils logeaient. Plus le disciple était fanatique, plus on rapprochait le prix des limites qu'il pouvait donner en le logeant dans des conditions déplorables. Plus il était septique, plus on le logeait bien pour un prix minime. Il faut savoir que Antonio avait profité de plusieurs agences immobilières dont les dirigeant lui vouait un culte ainsi que de quelques entreprises de travaux pour avoir un grand complexe d'habitation dans tout Gotham. Mais le sujet n'était pas là. Alors que le soleil ce couchait sur Gotham on s'approchait de l'heure du rendez-vous.

Antonio avait envoyé deux lettres (de la vieil école il préférait le courrier celé à la cire calligraphier par des professionnel qu'un simple mail ou coursier...) L'une était pour son ami de longue date et le parrain le plus influant de Gotham, Garmine Falcone. La lettre que Antonio avait dictée pour lui était à la fois amicale, chaleureuse, détachée et noble. Il y était d'ailleurs demandé à Garmine d'amener son jeu de carte et son croupier afin de ne pas pouvoir douter de la bonne foi au jeu de cartes. Il précisais évidemment que la partie ne serait pas exclusivement amicale et qu'il s'agissait d'une occasion pour rencontrer Oswald Chesterfield Cobblepot, dit le pingouin et de parler affaire tous les trois. L'autre lettre était adressée à se dit Oswald Chesterfield Cobblepot, un nouveau, mais qui avait déjà atteint une influence quasiment équivalente à celle de Garmine, que Antonio n'avait pas appelé le pingouin dans la lettre qui lui était adressée. Il avait appris que ce pingouin n'avait pas choisis son pseudonyme et ne le portait pas dans son coeur. Dans la lettre Antonio c'était présenté comme un prestidigitateur à la situation suffisamment aisée pour faire des affaires de temps à autres et avait sous-entendus que ses affaires étaient du même genre que celles d'Oswald. La lettre à ce dernier était moins chaleureuse, mais plus polie. Il y était question d'apprendre à se connaitre autour d'une partie de carte afin d'envisager un partenariat entre leurs différentes affaires. L'adresse de Antonio était bien entendu donner au pingouin, mais les deux invitées avaient une voiture avec chauffeur mise a leur disposition pour rejoindre Antonio une fois que la date et l'heure furent concluent. Les voitures étaient des limousines noires qui calculaient leur coup pour arriver en même temps chez Antonio.

Antonio savait que ses invités allaient arriver, aussi, il allât personnellement vérifier l'étage qui lui servait de salon. Le tapis vert émeraude était en place, un tapit de jeux luxueux avait été placé sur la table ronde, les meilleurs biscuits du monde étaient servis (aussi Antonio n'hésita pas à en prendre un avec un petit sourire) cinq majordomes était disposé dans la pièce, la baie vitrée était propre, le carrelage blanc aussi...tout semblait aller pour le mieux jusqu'à ce que la porte de l'ascenseur s'ouvre derrière lui laissant apparaitre deux jumelles blondes au visage fin d'une vingtaine d'année habillées chacune d'une serviette. Leurs rires ce turent lors ce qu'elles virent Arcalam, leur maitre. Mais qu'est ce qu'elle fichait là juste avant l'arriver des invitées ? Ha oui, il les avait récupérés le mois dernier. Si cet immeuble était à 200 mètres de de l'université c'était justement pour pouvoir récupérer quelques adeptes féminin afin de distraire les gourou, principalement Antonio...sauf que bon ses deux là Antonio s'en était lassé, il ne savait pas encore ce qu'il allait en faire et encore moins ce qu'elles faisaient dans le salon.

"Qu'est-ce que vous faites là les filles ? Je vous ai autorisé la piscine sur le toit non ?

"Oui mais...maitre on est fatigué on a nager toute la journée..."

Ha oui, Antonio les avais oubliées dedans, le matin même. Le fait qu'elles aient été suffisamment intelligentes pour ne pas se laisser noyer surprenait tout de même Antonio...

"Et donc ?

"On allait donner vos serviettes à un des serviteurs et retourner dans nos chambres, puis ce que nous n'avons pas le droit d'entrer dans la buanderie"

Ce système d'interdire l'accès à la buanderie ou était les vêtements des filles était un principe qui amusait toujours Antonio.

"Faites le ! Puis retournez dans la chambre et n'en sortez que si quelqu'un vous y autorise"

Alors qu'elles s'exécutaient il ajoutât

" Herman, allez les attacher au lit, que je sois sûr qu'elle ne nous dérange pas"

Un des majordome les suivis dans les escaliers, cette fois tout était pret, un majordome venait d'essuyer le carrelage, Antonio venais de finir son biscuit et l'ascenseur commençait à descendre pour aller chercher les inviter en bas.